Beaucoup s’imaginent encore que la diplomatie est affaire de petits fours et de stylos plaqués or. Mais dans les fonds sous-marins à quarante-cinq années-lumière de la Terre, il faut troquer les sous-mains en cuir surpiqué par des dagues de plongée et les envoyés plénipotentiaires par des nageurs de combat. Car pour mener les négociations avec l’espèce locale, il va falloir apprendre à jouer diplomatiquement du couteau.
Publié initialement dans AOC n° 56, Présences d’esprit, Printemps 2020
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